Pessa'h s'est terminé, et ce qui continue...
Nous sommes arrivés à la fin de Pessa'h, mais il nous est difficile de nous séparer de toute cette belle atmosphère.
La proximité avec notre Créateur, les préceptes et les coutumes qui nous accompagnent à Pessa'h, tout cela change à la fin des vacances, c'est peut-être pourquoi nous avons Isrú Jag ? (Le jour lié au jour férié).
En ce jour "Isrú Jag", il est de coutume de manger et de boire un peu plus que d'habitude le lendemain du festival.
(El Rama, -Ou HaChaim 429-)
Le célèbre rabbin Yosef Caro, auteur du Shuljan Aruj, mentionne que dans le Talmud, Jérusalem appelle ce jour "Bere de Moada" (fils de la fête).
En ce jour, la personne doit essayer de conserver la saveur de la fête honorée le lendemain par des repas de fête, au milieu d'un esprit joyeux.
Dans votre nourriture, vous devez ajouter quelque chose qui la distingue des autres, en l'honneur de ce jour, et de cette façon, elle sera considérée comme si vous aviez apporté une offrande expiatoire au Grand Temple, comme il était de coutume à cette époque .
Béni soit celui qui le fait, partageant un repas avec sa famille et ses amis, au milieu de chants louant notre Créateur. Car sa table est comparée à l'autel du Grand Temple, et le Saint béni soit-Il la considère comme s'il avait effectivement apporté un sacrifice pour nettoyer toutes ses fautes qu'il a pu commettre pendant la fête.
C'est aussi une coutume de commencer par la lecture et l'étude du Pirkei Avot (Traité de principes d'éthique de nos Pères).
Il s'agit d'une coutume datant de l'époque de nos premiers Sages.
Chaque semaine, un chapitre est lu afin que l'intégralité du Pirkei Avot soit achevée pour la première fois le Chabbat avant Chavouot.
Merci à Hachem, car bien que cette belle fête se termine, nous ne sommes jamais seuls, la Torah, les Préceptes nous accompagne, mais surtout nous savons que nous sommes accompagnés par Celui qui nous protège à chaque instant et qui nous libère : Le Créateur béni !
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